Moteur PE...

 

Publié par Jaz

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J’entrevois une silhouette courant dans une herbe folle, inondée de soleil, elle va, vient virevolte, tourne et tournoie dans ces chauds rayons qui la font rebondir, s’arrêter de ci-delà pour s’attarder sur une fleur, admirer un papillon, sans cesser de danser, entraînée par ce chant intérieur qui l’habite…
Une source claire, un murmure d‘eau comme une plainte qui jaillit… un frémissement…
Elle s’élance à nouveau, seule dans cette nature qu’ont désertée les oiseaux, seule face à cette danse inexorable qui la conduit à la fin de l’hymne vers une grotte perdue dont la fraîcheur lui permettra de se ressourcer pour mieux repartir dans sa quête de vie au-delà de la plénitude de l’instant.

Jaz

Te Deum pour Te Deum ... Je préfère pour ma part le 3° de cet enregistrement ...

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