Quinze, jour sans poème
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Un message aujourd'hui de Lionel Droitecour...
Bien oui, le cancer gagne du terrain, mine mes forces, balaye ma mémoire et suspend, hélas, notre rendez-vous quotidien. La maladie est impitoyable. Depuis trois mois, environ je lutte et je m'épuise dans ce combat, dans l'espoir d'une rémission qui me rende un peu de temps, encore.
Ainsi je lutte tant que cela me sera possible, et tâcherai de reprendre, si mes forces le permettent, notre rendez-vous poétique quotidien.
Tant qu'il me sera possible.
Bien oui, le cancer cagne du terrain, mine mes forces, balaye ma mémoire et suspend, hélas, notre rendez-vous quotidien. La maladie est impitoyable. Depuis trois mois, environ je lutte et je m'épuise dans ce combat, dans l'espoir d'une rémission qui me rende un peu de temps, encore. Ainsi je lutte tant que cela me sera possible, et tâcherai de reprendre, si mes forces le permettent, notre ren
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Un magnifique poème aujourd'hui...
Voyage
Voici. Dans la quiétude embaumée de silence
Où le chant d’un oiseau, parfois, lance sa trille ;
Le poète sourit, qui écoute, serein
Une rumeur ancienne qui monte de son sein.
[...]
... Notice (auto) biographique
"Lionel Droitecour est né le 26 décembre 1958, à Montluçon. Il s’approche désormais du terme d’une existence qui semble devoir être un peu ratiboisée par une maladie que l’on dit généralement longue et pénible, pour éviter de dire son nom.
On ignore encore, néanmoins combien elle durera, si bien qu’à ce jour, il convient d’attendre quelque temps avant d’inscrire la seconde date de sa stèle commémorative. Si tant est qu’il n’en soit jamais une pour marquer son discret passage sur la terre.
Il vécut sans histoire une petite vie de fonctionnaire sans apparat, ne recherchant ni gloire, ni honneur, moins encore la fortune. Il eut fallut pour cela qui ait quelque titre à y prétendre, ce qui paraît fort douteux, même (et surtout) à ses propres yeux.
Il s’éteindra donc sans amertume, le moment venu, fort satisfait, je pense, d’être libéré du lourd fardeau d’une existence qui fut son principal sujet de gêne et d’effarement, aussi longtemps qu’il en fut affligé.
Il laissera derrière lui un nombre considérable de poèmes qui n’ont, pour la plupart, pas trouvé d’éditeurs et sont probablement voués à l’oubli. Si donc vous lisez ces lignes au frontispice d’un livre consacré à ses œuvres, il s’agira fort probablement d’un opus posthume, financé grâce à la charité de la petite poignée d’amis sincères qui auront eu cette ultime grandeur d’âme.
Mais j’en doute fort... "
Qui suis-je ? - Les vieilles lettres
Ou bien, plutôt, que ne suis-je pas... S'il devait exister, Quelque jour, Un discret monument Au poète inconnu, J'irai, modestement, Tard le soir, Pour être sûr De n'y gêner personne, Déposer...
Ne doute pas Lionel ...
sont ce recueil ... cet écrin que mérite ta Poésie...
Qu'elles continuent à Exister ...
Et pas avant longtemps à Titre Posthume !!!
Source Bd ... La lettre d'Anna ( Bertrand)
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