A la faveur de l'automne
Posté devant la fenêtre
je guette
les âmes esseulées
à la faveur de l’automne.
Posté devant la fenêtre
je regrette
de n’y avoir songé
maintenant que tu m’abandonnes.
A la faveur de l’automne
revient cette douce mélancolie
Un, deux, trois, quatre
un peu comme on fredonne
de vieilles mélodies.
Rivé devant le téléphone
j'attends
que tu daignes m’appeler
que tu te décides enfin.
Toi tes allures de garçonne
rompiez un peu la monotonie
de mes journées de mes nuits.
A la faveur l’automne
revient cette douce mélancolie
Un deux trois quatre
un peu comme on fredonne
de vieilles mélodies.
(refrain :)
A la faveur de l ‘automne
tu redonnes
à ma mélancolie
ses couleurs de super- scopitone
a la faveur de l’automne.
Comment ai – je pu seulement
être aussi bête ?
On m’avait prévenu,
voici la vérité nue,
manquerait
plus que le mauvais temps
s y mette
une goutte de pluie et
j’aurais vraiment tout perdu.
‘(au refrain)
recopié par céline et aurélie