épilogue ...
Merci également pour vos commentaires que les jeunes ont ressentis du fond du coeur ...
La terre engrange la douceur et des naissances
S’arc-boutent pour surgir quand reviendra le Temps,
Balancier sidéral où chaque homme est poussière.
Je ne voyais, paupières basses que serrait
L’angoisse de la mort, je ne voyais que moi,
Momifié de terreur, descendre dans la tombe.
D’un bond je me portais à l’autre bout du monde
— Sans remarquer que tout m’entourait, me doublait,
Croisait ma route, entrait en moi, en ressortait.
Je n’étais pas Dieu ni Rien, j’étais la Vie.
L’amour enfin ouvrit une fenêtre ; un rai
Me fut révélation : tout était existence.
Chaque homme est une étoile et brille à l’intérieur.